L’AVENIR DE LA BANQUE POSTALE DOIT ÊTRE ASSURÉ.
Il ne s’agit pas uniquement d’une clause de style, car l’activité bancaire repose aujourd’hui sur deux jambes, dont l’une est l’assurance. C’est pourquoi toutes les banques de détail sont amenées à se lier à un assureur.
Qu’il s’agisse d’une relation capitalistique ou commerciale, La Banque Postale devrait se rapprocher plus étroitement du partenaire naturel qu’est la CNP, directement ou plus probablement sous l’égide de la maison mère. Si FOCom n’est pas opposée à ce rapprochement, nous veillerons à ce qu’il n’y ait pas d’impacts négatifs sur les personnels de La Banque Postale ni sur ceux du Réseau.
L’atteinte d’une taille suffisante pour compter sur le marché est un enjeu majeur pour La Banque Postale. Cela doit passer par la conquête de nouveaux segments de clientèles (professionnels, entreprises, collectivités) et par la promotion de nouveaux
produits (gestion d’actifs…) mais cela ne pourra pas se faire sans un développement fort des produits traditionnels, en particulier des crédits immobiliers…