Le manque de personnel, conjugué à des organisations de travail étriquées et le recours abusif à des intérimaires souvent insuffisamment formés, met les cadres du Réseau dans des situations complexes de manière quasi permanente.
De plus, la multiplication des fusions de secteurs implique des suppressions de postes au sein du CODIR engendrant un surcroît de travail pour les managers qui restent en poste.