Tracts

Chronopost doit partager les richesses créées par les salariés, entre le Groupe actionnaire, les investissements et l’intéressement. C’est pour cela qu’il y a un accord d’intéressement sur trois ans, pour les primes à verser à chacune et à chacun en 2022, 2023 et 2024.

Ce qui est garanti par l’accord : Quels que soient les résultats économiques de l’entreprise, le versement d’une prime d’intéressement en plus de la participation. En cas de résultat supérieur à 95 millions d’Ebit, 9 % de la masse salariale à distribuer. Des modalités de partage tenant compte de la rémunération et du présentéisme, avec un seuil minimum rehaussé pour la première fois.

[Lire le tract]

• Les nouveaux emplois en bureaux de poste
• Ne pas subir les incivilités
• Les incivilités
• Espace temps développement en bureaux fermés !
• Égalité professionnelle : vos droits !
• Mes congés
• KDS

La CDSP SLD relative à la filière ACHATS s’est déroulée le 2 juin. La nouvelle organisation fait apparaitre des Centres de Services Partagés (CSP) : les acheteurs en DAST (89 personnes) ne changeront pas de locaux mais ne seront donc plus rattachés hiérarchiquement aux Directeurs des DAST…

La Poste nous a présenté une filière en attrition pour laquelle elle devra recruter de nouveaux collaborateurs en interne pour accompagner sa transformation. Son attractivité au sein du groupe est donc un enjeu majeur.
Dans ces conditions, on peut s’étonner d’un discours convenu qui laisse une part importante à la stratégie mais qui nous laisse sur notre faim en matière de parcours professionnels.

[Lire le tract]

La Poste nous a présenté le plan stratégique de la Branche Grand-Public et Numérique en Commission de Dialogue Social le 19 mai. Une nouvelle fois, la déclinaison du plan stratégique « engagé pour vous » au Réseau nécessite que ce dernier se transforme.

Mais, parmi les 7 priorités présentées par La Poste, il y en a une des plus importantes pour FO Com : LES POSTIÈRES ET LES POSTIERS, leur emploi et leur rémunération!

[Lire le tract]

Depuis plus d’un an, les postiers des départements d’Outre-mer sont confrontés à la double peine, la crise sanitaire et la vie chère.

Confinement ou déconfinement, les prix n’ont jamais été aussi élevés dans nos départements. Une situation sociale et économique qui se dégrade de jour en jour due à la crise sanitaire. Mais aussi aux politiques publiques inadaptées favorisant l’appétit toujours plus vorace d’une minorité détenant des capitaux par héritage souvent historique et des multinationales en situation de monopole d’entreprises.

La révolte sociale contre la vie chère en 2009 pendant quarante-quatre jours n’a pas réglé le problème. Et la loi pour lutter contre la vie chère, mise en place dans le cadre de la loi relative à la régulation économique des Outre-mer du 20 novembre 2012, cette fameuse loi sur le bouclier qualité-prix, n’a jamais fonctionné correctement faute de volonté des pouvoirs publics.

[Lire le tract]