Paris, Lille, Dijon, Orléans ou Rennes, toutes les DAST sont dans le même bateau.
D’après La Poste, tout est en construction, mais alors que le commandant de bord cherche un CAP à tenir, les équipiers s’affairent sur le pont, essayant de maintenir la qualité de service si chère à leur yeux.
Il faut aussi palier aux pertes de compétences de ceux qui partent, et bidouiller à la hâte des processus en mode dégradé. Dans ce marasme, peut-on croire aujourd’hui en des jours meilleurs ?