Comme en 2017, FO a pris ses responsabilités mais, cette fois-ci, en refusant de signer l’accord proposé par la BSCC.
L’enjeu n’est pas d’apposer sa signature sur un accord mais que chaque postier puisse se reconnaître dans celui-ci. Le déroulement des négociations s’est fait dans un contexte très particulier, faisant apparaître encore plus clairement le désarroi, et dans certains cas la souffrance des collectifs de travail.
Face à ce constat La Poste aurait dû changer de logiciel, et oublier sa seule logique de productivité, chose qu’elle a refusé de faire tout au long des négociations.
[Lire le tract]