Le Service Universel Postal (distribution 6 jours sur 7) risque dans un avenir proche d’être remis en question faute de contribution suffisante de l’État. Si cela devait se concrétiser, ce sont des milliers d’emplois qui disparaîtraient (environ 25000 au niveau national).
Au Courrier, activité la plus en difficulté, les réorganisations sont reparties de plus belle et les effectifs fondent comme neige au soleil. Les conditions de travail sont telles qu’il est très compliqué d’assurer un service de qualité: tournées à découvert, manque de moyens, colis en souffrance; sans parler du dialogue social devenu quasi inexistant.
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